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La qualité du sommeil s’ajouterait à la longue liste des aspects néfastes sur la santé causés par la pollution atmosphérique, d’après une nouvelle étude.

Vous dormez mal ? C’est peut-être la pollution

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Théodore Doucet
Rédacteur - MétéoMédia

Jeudi 25 mai 2017 à 17 h 00 - Les troubles du sommeil s’ajouteraient à la longue liste des aspects néfastes sur la santé causés par la pollution atmosphérique, d’après une nouvelle étude.


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Après l’augmentation des risques cardiovasculaires, les méfaits sur le système respiratoire ou encore ses effets cancérogènes, la pollution de l’air doit ajouter les troubles du sommeil à son tableau de chasse sordide.

C’est ce qui ressort d’une étude menée par des chercheurs de l’université de Washington, aux États-Unis, qui ont suivi plus de 1 800 personnes pendant un ou cinq ans, un échantillon suffisant pour accorder du crédit à l’étude.

Les citadins plus affectés

Les scientifiques ont mesuré à la fois la qualité de l’air dans l’environnement des participants, le temps qu’ils passaient au lit endormi ou au contraire éveillé (ce qu’ils appellent l’efficience du sommeil) et le nombre de réveils nocturnes de plus d’une heure.

Résultat : les groupes les plus exposés à la pollution au dioxyde d’azote (NO2) et aux particules fines avaient 50 à 60 % plus de risques d’avoir une faible efficience du sommeil et plus de 71 % de risque de souffrir de réveils nocturnes que ceux qui bénéficiaient d’un air plus pur.

« La pollution de l’air provoque une irritation des voies respiratoires supérieures, un gonflement et une congestion, mais peut aussi affecter le système nerveux central et des zones du cerveau qui contrôlent la respiration et le sommeil », explique Martha E. Billings, principale auteure de cette étude.

Les citadins sont évidemment les plus concernés par ces facteurs de risque. De plus, l’air n’est pas la seule source de pollution : les lumières de la ville et ses bruits affectent aussi le sommeil.

Source : Étude

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