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Un parfumeur capture l’odeur de Montréal en cinq parfums


Lundi 9 janvier 2017 à 10 h 01 - Claude André Hebert est un parfumeur amoureux de la ville qui a décidé de mettre Montréal en bouteille et de raconter la ville en odeurs.


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Le parfumeur québécois s’est inspiré de la ville en se promenant de quartier en quartier, cherchant l’inspiration dans la diversité des ambiances que Montréal offre au fil des rues empruntées. Au total, trois parfums pour femme et deux pour homme décrivent une promenade olfactive urbaine en une sorte de « collection » de fragrance. 

À l’ombre des clochers : Ce parfum évoque une femme de la Nouvelle-France, il y a deux cents ans, qui déambulerait dans le vieux port. La crinoline, le velours ou encore le cuir sont les éléments qui en font une sorte de parfum rétro. 

Notre-Dame : Cette même femme – ou une autre – se serait déplacée des rives du fleuve vers le nord et arriverait à la basilique du même nom. Ici l’inspiration est plutôt chic, grandes occasions, manteau de fourrure… 

Ville-Marie : Pour celui-ci, c’est la brutalité du centre-ville, le béton, l’acier, mais aussi l’argent des affaires et le pouvoir. C’est le parfum masculin typique.

Claude André Hebert

Métropole : Celui-ci, plus festif, est inspiré par la rue Sainte-Catherine à l’ouest du centre-ville, là où les langues se mêlent et où les odeurs de bars et de cigarettes donnent l’impression que tout est permis. 

Mont-Royal : C’est le plus méditatif des cinq. C’est l’ouverture à l’air pur avec des touches d’herbe, de sapin, de bouleau et de lilas. 

« Quand la plupart des parfumeurs créent un parfum, ils commencent par mélanger des ingrédients. Puis, quand ils aiment ce à quoi ils sont arrivés, ils inventent une histoire. Moi, je fais totalement le contraire. Je commence par une feuille blanche, j’écris une histoire. Chaque mot de l’histoire qui évoque un sentiment particulier s’enlève alors de l’histoire et se transforme en ingrédient. » Explique avec inspiration le parfumeur.

Sources : CTV | Claude Andre Hebert

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