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Le mois de mai dernier a été le plus chaud jamais enregistré sur Terre.

Le mois de mai le plus chaud de l’histoire


Joey Olivier
Chef contenu éditorial - MétéoMédia

Mardi 14 juin 2016 à 12 h 39 - Selon la NASA, le mois de mai 2016 a été le plus chaud jamais enregistré sur la Terre. Une analyse effectuée par la division Goddard Institute for Space Studies révèle également qu’il s’agit du huitième mois consécutif où des records mensuels sont battus.


À lire également : Un autre record troublant dans l'Arctique


La température moyenne en mai 2016 a été 0,93 °C de plus de la moyenne de 1951 à 1980. L’ancien record pour le mois avait été établi en 2014.

Chaque mois, depuis octobre 2015, la NASA a enregistré un écart de plus ou moins 1 °C.

De plus, ce mois de mai chaud s’inscrit également dans une tendance lourde à l’échelle planétaire, alors qu’on a répertorié 370 mois consécutifs avec des températures plus chaudes que la normale.

Selon les données de la NASA, le dernier mois plus froid remonte à juillet 1985. Les données climatiques sont compilées depuis 1880.

Mai : le Québec ne fait pas exception Le contexte climatique du Québec est raccord avec cette tendance climatique mondiale. « En mai, on a enregistré des températures d’environ 1 °C plus chaudes que la moyenne dans la majorité des secteurs de la province », confirme André Monette, météorologue à MétéoMédia. D’ailleurs, soulignons que la première canicule de l’année a été enregistrée à Gatineau à la fin du mois (entre le 27 et le 30 mai).

Ce n’est cependant pas tous les secteurs dans le monde qui ont été chauds en mai. Une partie du centre et du sud des États-Unis affiche une moyenne sous les normales, tout comme une partie de l’Amérique du Sud.

Rappelons que la semaine dernière, des données du US National Snow and Ice Data Center (NSIDC) confirmaient que la superficie des glaces en Arctique a affiché un déficit de 600 000 km2 en mai, soit le niveau le plus bas depuis que les données satellites sont enregistrées (1978).

La contribution du phénomène El Niño, qui a injecté de l’air chaud dans l’atmosphère l’hiver dernier, a souvent été identifiée comme un facteur clé dans le réchauffement planétaire au cours des derniers mois, combiné aux impacts évidents des changements climatiques au cours des dernières décennies.

EN VIDÉO : BILAN DU MOIS DE MAI 2016 :

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