En images: Samedi, on a éteint les lumières pour la Terre
Rédacteur - MétéoMédia
Dimanche 26 mars 2017 à 10 h 42 - Près de 170 pays étaient invités le samedi 25 mars à limiter au maximum sa consommation d’électricité de 20 h 30 à 21 h 30, à l’occasion de l’événement Une heure pour la Terre, qui cherche à attirer l’attention sur l’action pour le climat.
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Des millions de personnes à travers six continents, près de 170 pays et les 24 fuseaux horaires se sont unis ce samedi pour célébrer la onzième édition d’Une heure pour la Terre, une initiative du Fonds mondial pour la nature (WWF). À 20 h 30, chacun était invité à éteindre les lumières et débrancher les appareils électriques non essentiels pendant une heure, une économie symbolique d’électricité qui promeut la réduction des émissions de gaz à effet de serre et la lutte contre le réchauffement climatique.
Ce léger répit donné à notre planète est l’occasion de réfléchir sur les actions à mener en faveur de la protection de l’environnement. « Cette heure sans courant montre à quel point l’électricité est essentielle à nos vies, écrit la section canadienne du WWF. Nous devons produire cette électricité à partir de sources qui ne participent pas au changement climatique ou à endommager les habitats naturels. »
On éteint une heure pour la Terre! https://t.co/mgSE0LlsFM pic.twitter.com/aKQeYWGSI1
— umontreal Communauté (@umtlCommunaute) 22 mars 2017
En 2016, plus de 7 000 villes, dont Montréal, Saint-Laurent et Brossard avaient participé à l’événement en coupant les lumières à leurs bâtiments les plus connus et en invitant les résidents à faire de même chez eux.
Cette année, trois villes canadiennes (Edmonton, Vancouver et le district de Saanich, en Colombie-Britannique) ont même intégré un concours mondial qui met les projecteurs, si l’on peut dire, sur les localités les plus innovantes dans leur approche « verte ».
Sources : WWF Canada