5 raisons d’aimer l’été
Chef contenu éditorial - MétéoMédia
Jeudi 23 juin 2016 à 13 h 33 - Ce n’est pas un secret : l’été est la saison chou-chou de plusieurs personnes, particulièrement les vacanciers. Voici 5 raisons d’aimer l’été plus qu’une autre saison.
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1-Il fait chaud!
C’est durant l’été que les probabilités de connaitre de la chaleur sont plus élevées. À Montréal, la moyenne des températures maximales est de 25 °C de juin à août et de 22 °C dans la ville de Québec.
2-Les journées sont plus longues
En été, l’inclinaison de la Terre est telle que l’hémisphère Nord reçoit de façon plus directe les rayons solaires et, comme la durée du jour est plus longue, il peut accumuler un maximum de chaleur.
3-Les précipitations sont plus courtes
Durant l’été, en moyenne, la pluie occupe seulement 10 % de l’espace-temps, soit en moyenne 2,4 h par jour. « En comparaison, au cours des mois d’hiver, cette proportion dépasse 30 % du temps », explique Réjean Ouimet, présentateur et spécialiste à MétéoMédia. Durant les deux semaines des vacances de la construction, on enregistre en moyenne six jours avec des averses ou orages. « Concrètement, ça ne représente même pas une quarantaine d’heures où il va tomber de la pluie sur un total possible de 384 h », ajoute le spécialiste.
4-Plus de soleil
La durée de vie des systèmes dépressionnaires est généralement plus courte en été qu’en hiver. Ceci signifie que les probabilités de voir le soleil se pointer le bout du nez sont plus élevées.
« En hiver, on peut voir le soleil de 30 % à 40 % du temps, entre son lever et son coucher. En été, cette proportion est de 60 % en juillet », mentionne Réjean Ouimet. Les dépressions ont aussi l’habitude d’être plus larges en hiver, augmentant la couverture nuageuse. En été, les orages se développent vite, mais se déplacent également très rapidement.
5-Pas d’école!
Pour profiter de tous ces avantages, des milliers d’écoliers peuvent compter sur deux mois de vacances, tandis que les parents ont aussi l’habitude de s’accorder du temps de repos. Selon un sondage de CAA-Québec, près de la moitié des Québécois (46 %) partiront en vacances en 2016 et 35 % ne s’accorderont qu’une seule semaine de vacances ou moins.