Début juillet 2018 et 2019 : une différence étonnante...

Si notre début du mois de juillet cette année est relativement chaud, il se place vraiment loin derrière l'année dernière. Battre les températures atteintes en 2018 serait mission impossible ! Analyse exclusive ici.


Le secteur où l’anomalie de température est la plus impressionnante entre les deux années se trouve dans le sud de la province. En effet, on remarque une différence de près de 2 °C. Dans le centre, à l’inverse, les températures sont plutôt similaires. Les plus malchanceux, côté chaleur : l’est !

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Le mois de juillet de l'année dernière a été particulièrement marquant en raison d'une chaleur accablante omniprésente. Entre le 1er et le 15 juillet, on a enregistré dix jours avec des températures excédant les 30 °C. Cette année, on en compte seulement cinq.

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Plus frais, mais...

Si le mois de juillet en cours est généralement plus frais que celui de l'an dernier, les températures demeurent tout de même au-dessus des normales saisonnières. À Montréal, la moyenne est de 21 °C : on se retrouve donc à plus de 2 °C au-dessus de la normale.

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De plus, dans la métropole, cette année se taille une quatrième place dans le palmarès des quinze premiers jours de juillet les plus chauds.

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Humidex plus timide

Au cours des quinze derniers jours, l'humidité a été bien présente dans l'air. À Montréal, on enregistre un total de 11 jours où l'indice a excédé les 30. D'ailleurs, Saguenay a connu un humidex record de 46 lors de cette période.

Fait intéressant : cette région est le point chaud dans la province pour une deuxième année consécutive.

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ROSALIE POINTS CHAUD

La chaleur qui nous tenaille cette année est décidément moins accablante qu'en 2018 : à Montréal, trois jours avaient été marqués par un humidex dépassant les 40, avec un maximum de 48.

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Si une vague de chaleur se dessine à l'horizon, celle-ci ne sera pas suffisante pour détrôner 2018. Les deux dernières semaines que nous venons de vivre demeurent tout de même dans les débuts juillet les plus chauds.

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