Les grandes villes, pas complètement mauvaises pour l'environnement

Si l'on associe souvent les grandes villes à la pollution, elles seraient au contraire la réponse à la conservation des ressources dans le futur.


Dans les trente prochaines années, il est attendu que la population mondiale fera un bond de deux millions. En 2100, on compterait 40 % plus d'humains sur Terre que le nombre actuel. Sans surprise, la demande en ressources va également augmenter.

Comment assurer la pérennité de l'espèce humaine ? Selon les Nations unies, d'ici 2030, on comptera dix mégavilles à travers le monde. Et selon l'Organisation internationale, ce sont exactement les endroits où les nouveaux habitants devront s'établir.

Selon des chercheurs, des villes bien pensées, avec de denses zones d'habitations et des réseaux de transport en commun efficaces peuvent s'avérer bénéfiques pour l'environnement.

En effet, ces centres urbains permettraient de réduire la consommation d'énergie et l'impact environnemental individuel. La proximité de la ville met également un frein à la croissance de la population.

Au contraire, si d'ici 2100, ces trois milliards de personnes supplémentaires s'établissaient loin des villes, cela empiéterait sur l'habitat, l'agriculture et la faune.

Selon un reportage du Huffington Post | Pour avoir accès à l'étude, c'est ici.

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