Dommages causés par la météo : quoi faire ?
La présence de certains ingrédients nécessaires à la naissance d’orages, tels que la chaleur, l’humidité et de l’instabilité, peut être identifiée à l’avance, d’où la possibilité de prédire la venue d’orages.
En revanche, il est plus difficile d’identifier à l’avance les contrecoups parfois désastreux des orages, puisque chaque région a ses particularités. C’est pourquoi il est primordial de se mettre à l’abri dès qu’on entend le tonnerre gronder, mais aussi de savoir quoi faire lorsqu’ils causent des dégâts.
Des orages aux conséquences marquantes
Si parmi les 95 orages qui ont cours en moyenne entre mai et septembre, la majorité n’a pour seule conséquence un beau spectacle aérien, ce n’est pas toujours le cas.
Les personnes qui étaient à Montréal le 29 mai 2012 en savent quelque chose. En fin d’après-midi, les orages violents frappent la métropole et jusqu’à 70 mm de pluie tombent sur la ville, faisant déborder son réseau d’aqueducs. Par endroits, l’eau jaillit avec force des puisards. Plusieurs stations de métro, centres commerciaux souterrains, bâtiments, maisons, rues et tunnels seront inondés subitement. Le coût total des dommages s’élèvera à 200 millions de dollars.
Autre exemple qui a eu lieu cette année : certaines rues de Trois-Rivières se sont littéralement transformées en plans d’eau. Le passage de violentes cellules orageuses a laissé dans la ville trifluvienne plusieurs millimètres de pluie en peu de temps, inondant les rues et faisant déborder les égouts, le 8 juin dernier.
Un plus tard durant le même mois, soit le 30 juin, les villes de Mont-Tremblant, La Conception et le secteur du lac Labelle ont eu droit à des orages très généreux en précipitations.
En effet, une succession de lignes d’orages a déversé entre 50 et 80 mm de pluie sur ces secteurs en un court laps de temps. Résultat : plusieurs routes se sont effondrées à la suite d’inondations subites. Des stationnements se sont affaissés ou ont été inondés, engloutissant les voitures qui y étaient stationnées. Des maisons et des commerces ont aussi été endommagés. Le bilan financier des dégâts n’a pas encore été finalisé.
Des conséquences lourdes pour les propriétaires
Lorsqu’une inondation survient, il s’agit d’une source de stress pour les propriétaires de maison qui tentent de sauver leurs biens et leur propriété, en plus de devoir trouver un endroit où dormir pour les jours à venir, dépendamment de l’ampleur de l’événement.
Mais, pour un propriétaire de bâtiment commercial, d’autres enjeux s’ajoutent. Par exemple, si le bâtiment est inondé, cela implique entre autres :
De possibles dommages à la structure et au filage électrique, ce qui peut être coûteux et long à remplacer selon le délai pour obtenir certains matériaux ou pièces ;
La fermeture du bâtiment et de ses activités commerciales ;
Si ce bâtiment abritait un commerce avec employés, s’ensuivra alors la mise à pied temporaire de ceux-ci ;
La potentielle perte des produits qui s’y trouvaient et le délai — parfois long — pour se réapprovisionner et pouvoir repartir les activités commerciales, etc.
Et à tous ces désagréments, s’ajoute le fait que le propriétaire doit continuer à payer ses comptes, tout en entrevoyant que ses revenus tarderont à arriver par la suite.
Propriétaires de commerces inondées : les étapes cruciales
C’est pourquoi, pour éviter qu’un tel scénario anxiogène ne perdure trop longtemps — et puisse même signer l’arrêt de mort d’un commerce —, il est essentiel d’agir rapidement.
En premier lieu, communiquez immédiatement avec votre fournisseur de services d’urgence après sinistre, tel que Restauration First Onsite. « En ayant un partenaire certifié qui connaît votre portefeuille immobilier, ce dernier sera en mesure d’agir rapidement. Lorsque vous appelez, prenez soin d’indiquer (dans le cas d’une inondation) combien d’eau environ s’est infiltrée, la superficie de la surface affectée, les matériaux affectés… bref le plus d’éléments possibles. Cela aidera l’équipe à préparer le matériel nécessaire, car nous n’aurons pas besoin des mêmes équipements selon qu’il ait deux centimètres d’eau ou quatre pieds d’eau ! Également, il faut informer l’équipe d’urgence s’il y a déjà eu de l’amiante ou de la moisissure dans l’immeuble pour s’assurer de suivre les protocoles nécessaires. Les services d’une compagnie de gestion environnementale pourraient être requis », explique Valérie Bouchard, directrice en développement des affaires chez Restauration First Onsite.
Toutefois, si vous n’avez pas de fournisseur de services d’urgence, communiquez avec une entreprise certifiée de gestion après sinistre. « Vérifiez toutefois les services offerts par la compagnie, car ce ne sont pas toutes les entreprises après sinistre qui sont en mesure de gérer les contrecoups reliés à la météo dans le cas de catastrophes, par exemple », indique Mme Bouchard.
De plus, certaines compagnies d’après sinistre, telle Restauration First Onsite, ont leur licence d’entrepreneur général et offrent un service clé en main incluant la reconstruction, ce qui peut être avantageux pour les propriétaires commerciaux qui doivent reprendre leurs activités le plus rapidement possible.
Par la suite, communiquez avec votre assureur pour l’aviser de la situation. Personne ne veut avoir à affronter une inondation et ses conséquences.
Ainsi, mieux vaut prévenir que guérir et faire affaire dès maintenant avec un fournisseur de services d’urgence après sinistre !
Ce texte est un publireportage de Restauration First Onsite.
