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Les risques d’inondations printanières varient d’une année à l’autre.

Un printemps propice aux inondations?


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    Joey Olivier
    Chef contenu éditorial - MétéoMédia

    Mercredi 19 février 2014 à 15 h 29 - Les risques d'inondations varient d'une année à l'autre. Si le couvert de neige au sol est épais, les cours d'eau seront plus propices aux débordements. Les vents et la pluie peuvent également jouer un rôle primordial.

    L’hiver 2013-2014 a été marqué par des précipitations abondantes dans le nord-est des États-Unis, particulièrement en Nouvelle-Angleterre. Depuis que des inondations historiques ont frappé des milliers de résidences, en 2011, dans la Vallée du Richelieu, on porte une attention particulière à ce secteur.  

    « Pour l’instant, il n’y a pas de situation où il y aurait des inondations dans la Vallée du Richelieu. Et il faut se souvenir qu’en 2011, il y a eu 182 % de plus de pluie que la moyenne », indique Patrick de Bellefeuille, présentateur à MétéoMédia. 

    Le fait qu’il y ait moins de neige au sol ne signifie cependant pas que les inondations ne seront pas de retour près du Richelieu. « Le printemps n’est pas encore arrivé, mais s’il fallait qu’il y ait beaucoup de pluie et que le dégel soit soudain, en avril et mai, ça pourrait déborder encore », spécifie-t-il. 

    La tragédie du printemps 2011

    Au printemps 2011, environ 3000 résidences ont été inondées dans la vallée du Richelieu, et ce, durant plusieurs semaines. Au plus fort de la crise, des centaines de soldats de l’armée canadienne ont été déployés sur les lieux afin d’aider les sinistrés.  Des dizaines de propriétaires riverains ont été 
    forcés de détruire leur résidence durant l’été. Ce cauchemar qui a commencé à la mi-avril a duré deux mois.

    « On parlait alors d’un niveau de neige record du côté des Adirondack, le printemps a été tardif, et la hausse des températures s’est concentrée sur une courte période, le tout combiné à plusieurs jours de pluie. Les vents et les vagues sur le lac Champlain avaient également aggravé la situation », explique Patrick de Bellefeuille. 

    Au printemps 2011, des milliers de sinistrés ont véçu des inondations majeures durant plus de deux mois. (Photo: archives, Uber d'Henriville)

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