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Le mois de juin a connu son lot d’extrêmes au cours des dernières décennies. Voyez les records les plus spectaculaires.

Des records spectaculaires en juin


Joey Olivier
Chef contenu éditorial - MétéoMédia

Jeudi 8 juin 2017 à 14 h 03 - Le mois de juin est celui où on espère l’installation définitive de la chaleur estivale. Certains départs ont été plus convaincants, tandis que d’autres ont surtout été frais. Il y a aussi la pluie, le vent et l’humidité qui ont leur mot à dire. Voici les records à battre en juin.


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1-Juin dans le frigo

Le mois de juin marque le début officiel de l’été, mais la chaleur n’est pas toujours au rendez-vous. Le 11 juin 1972, on a enregistré -3,9 °C à Val-d’Or, tandis que le même record a été égalé le 1er juin 1990 à Gaspé. Ces deux records mensuels ex aequo sont donc les plus importants au Québec.

2-Chaleur caniculaire

Il est fréquent que l’été ne perde pas de temps à dominer en juin. Le 26 juin 2003, à Saguenay, le mercure a atteint 36,3 °C. Cette poussée de chaleur de 2003 a également permis aux villes de Sherbrooke (32,9 °C le 26 juin),Québec (34,2 °C, 26 juin) et Rimouski (35,1 °C, 27 juin) d’établir un nouveau record de chaleur.

3-Près de 100 mm en une journée

Les journées pluvieuses sont inévitables en été, mais certaines sont plus mémorables que d’autres. Ce fut le cas dans la région de Gatineau, le 24 juin 2011, alors qu’il est tombé 90,4 mm de pluie. Il s’agit du record québécois dans cette catégorie. Loin derrière, en deuxième place, on retrouve le record de Québec du 16 juin 1979 (78 mm). Mise à jour 13 juin 2016: Gaspé enregistre un nouveau record avec un total de 83,4 mm.

4-Journée suffocante

L’humidité accentue l’impression de chaleur sur la peau durant la période estivale (indice humidex). Le 9 juin 1970, on ressentait 46 à Val-d’Or, ce qui en fait notre record mensuel. Montréal ne donne pas sa place dans la catégorie humidex extrême, avec une température ressentie de 45 le 21 juin 1953.

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