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Un orage représente toujours un danger potentiel pour la population, les infrastructures et bâtiments.

Les ravages des orages


Joey Olivier
Chef contenu éditorial - MétéoMédia

Lundi 15 juin 2015 à 11 h 44 - Un orage violent représente toujours un danger potentiel pour la population, les infrastructures et les bâtiments. Certains d'entre eux ont causé des dégâts majeurs au Québec au cours des dernières années.

Le 29 mai 2012, les rues de Montréal se sont transformées en rivières, alors que l'humidex atteint 40. 

En fin d'après-midi, le ciel se déchaîne sur la métropole. Jusqu'à 70 mm de pluie s'abattent sur la ville, saturant le réseau d'aqueduc. À certains endroits, de véritables geysers jaillissent des puisards tant la pression de l'eau est forte.

Plusieurs rues et tunnels sont bloqués, et l'eau s’infiltre dans certaines stations de métro, qui doivent être évacuées. Des centres commerciaux souterrains du centre-ville sont inondés, tout comme la Place des Arts, le Palais des congrès, le Musée d'art contemporain et l'École de technologie supérieure. Des centaines de maisons subissent également des dégâts. Le coût des dommages de cette tempête a été évalué à plus de 200 millions de dollars.

Orage mortel le 19 juillet 2013

Terrains inondés, arbres déracinés, toitures arrachées et pannes de courant; certaines municipalités du Québec avaient des allures d'apocalypse le 19 juillet 2013. Plusieurs microrafales se sont produites, notamment à Prévost, Boisbriand, Nicolet et Bécancour. À Prévost, huit personnes ont été blessées lorsqu’un chapiteau s’est effondré sur un groupe de jeunes. Une jeune femme a également perdu la vie à Boucherville, après qu’une branche d’arbre soit tombée sur elle. Au plus fort des intempéries, près de 540 000 clients d’Hydro-Québec étaient privés d’électricité.

Des grêlons destructeurs 
Quant à la grêle, elle cause souvent des ravages à certaines récoltes, en plus d’endommager la carrosserie des véhicules. Dans certains cas extrêmes, la grosseur des grêlons peut atteindre celle d’une balle de baseball. Ce fut le cas en août 2013, en Abitibi. On rapporte également chaque année des incendies déclenchés par la foudre. 

Gros grêlons tombés à La Sarre le 21 août 2013. Photo de Christine Francoeur.

Accumulation de grêle à l’entrée d’une maison à Luskville le 24 juin 2011.

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