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La période estivale au Québec est souvent marquée par des épisodes de chaleur accablante.

La chaleur extrême en chiffres


Joey Olivier
Chef contenu éditorial - MétéoMédia

Mardi 12 juillet 2016 à 13 h 46 - La chaleur intense est une partie importante de la période estivale. Certaines poussées de chaleur ont cependant marqué l’histoire météorologique du Québec. Voici quelques faits saillants sur la chaleur extrême.


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Gatineau avec le plus de 30 °C

La région de Gatineau est celle où la moyenne de jours où le mercure grimpe à 30 °C ou plus est la plus élevée (13 jours). Montréal (9 jours) et Saguenay (8 jours) se classent respectivement en deuxième et troisième places.

Chaleur extrême

Le record de chaleur estivale appartient à la ville de Saguenay, où il a fait 38,4 °C le 2 juillet 2002. Viennent ensuite Gatineau qui a enregistré 37,8 °C, le 11 août 1944, et Montréal avec 37,6 °C le 1er août 1975.

Records températures ressenties (humidex)

L’impact de l’humidité sur les températures ressenties est majeur en été, puisqu’elle accentue l’impression de chaleur sur la peau. Le record d’humidex durant la période estivale appartient à la ville de Québec (températures ressenties de 49,3 le 1er août 1975). Cette même année, Montréal (46,8) et Gatineau (46,8) ont aussi établi leur record d’humidex.

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